Nos animateurs, Odette et Aimé, toujours fidèles au poste souhaitent la bienvenue aux participants et font un petit sondage pour voir d’où ils viennent. Il y en a d’un peu partout dans région de Québec. Une dizaine de l’arrondissement St-Sacrement, quelques-uns de Beauport, d’autres de Limoilou, Boischatel et 2 de Lévis. Merci de votre présence. Il y en a six qui sont venus parce que des amis leur ont parlé de nous, huit ont vu notre annonce dans le journal et plusieurs sont des habitués. Comme la responsable des retraités flyés de la région de Québec Mme Réjeanne Audet est allée se balader en Islande, ce sont Mmes Pauline Maheu et Louise Miville-Deschênes qui viennent présenter le c.a. Que voulez-vous, il en faut 2 pour la remplacer.

Et c’est le temps des 5 minutes de bonnes nouvelles pour nous mettre en joie.

– Aimé casse la glace en nous racontant que lui et Odette arrivent de Calgary où ils sont allés voir leur petite-fille de 9 ans qui jouait dans une comédie musicale. Quand ils sont là-bas, ils vont reconduire les enfants à l’école et leur fille laisse une liste de « travaux forcés » à faire sur le frigo. À voir leur mine réjouie ce n’était pas si pire.

– Une de nos participantes a participer au défi têtes rasées de Leucan. 982 personnes ont participé et 650,000.00$ ont été amassés.

– Un  monsieur nous raconte que son petit fils de 12 ans a participé à un concours canadien de guitare classique. Malgré le stress qui accompagne ce genre de participation il est resté de très bonne humeur paraît-il. Il gère déjà très bien son stress.

– Maryse, une des membres du c.a., est grand-mère pour la première fois d’une belle petite fille et une 2ème sera là à l’automne.

– Pauline, qui est aussi avec nous, est comme elle dit une fausse grand-mère (elle s’occupe beaucoup des enfants de sa nièce) pour la 3ème fois d’une belle petite merveille nommée Simone. 

– Il y a eu des retrouvailles des anciens de CASIRA et des projets pour aller en République Dominicaine et au Cambodge sont en marche. Une invitation est lancée de vous joindre à eux.

– Une autre participante nous raconte que 5 personnes qu’elle connaît arrivent de Compostelle. Elles ont eu de tout comme température, de la neige, de la pluie, du froid. Un avantage, elles portaient tout leurs vêtements sur leur dos pour faire face au froid ce qui allégeait considérablement  leur sac à dos.

– Une dame nous annonce qu’elle a commencé à faire du bénévolat avec des réfugiés et en retire beaucoup.

– Aimé, qui a pris une très grande part dans la fondation de la Maison du Cœur à Beauport pour les personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer, nous dit qu’on fêtera ce dimanche le 2ème anniversaire de l’ouverture de la maison.

– Demain soir (7 juin)  aura lieu à Lévis une marche pour la recherche sur le cancer. Si vous voulez participer à ces marches surveillez les journaux il y en aura d’autres un peu  partout en province bientôt.

 

 Et maintenant place à nos conférenciers :

  

1er EXPOSÉ Les croisières aux bouts du monde par M. Jean-Luc Desgranges écologiste-explorateur à la retraite

 M. Desgranges est fasciné par la beauté des deux pôles de notre planète. Il a travaillé en Arctique, il y retournera pour le plaisir, a fait une croisière en Antarctique et  entend bien y retourner. Ce sont dit-il les régions les plus sauvages de la planète, très peu d’humains y vivent et très peu les visitent.

Les deux pôles sont très différents l’un de l’autre, l’Arctique est un océan gelé presqu’en permanence mais qui fond de plus en plus pour donner un passage navigable en été et l’Antarctique est un continent recouvert de plusieurs kilomètres de glace. Le premier est un désert sec et froid avec un peu de végétation dans la toundra et le second est aride et glacé avec moins de 5 mm de précipitations par an.

En Arctique, la température en été oscille entre 2 et 10*C et l’hiver de -40 à -70*C  et en Antarctique de -25 à -15 en été et de -30 à -70 en hiver mais un peu moins froid près des côtes. C’est un territoire très venteux, il peut y avoir des vents jusqu’à 300 km/h. On rejoint ces contrées en avion ou en bateau.

 M. Desgranges a travaillé comme écologiste à plusieurs endroits en Arctique. Son premier poste a été à Cambridge Bay au Nunavut, centre de services du Canada qui avait un système d’alerte lors de la seconde guerre mondiale.  Il nous montre de superbes photos de lièvres arctiques, plus gros que celui qu’on rencontre dans nos bois, de lagopèdes des bois, de caribous qui migrent vers la toundra, de bœufs musqués, de carcajous et d’oies blanches, sujets de leur recherche. Il nous montre aussi une photo de leur camp le 24 juin, c’est le jour 24 heures sur 24 et il neige. Il fallait partir très tôt dans la nuit en motoneige pour faire les relevés car sous le soleil du grand jour, la neige fond très vite et il devient très ardu d’avancer. Les  couples d’oies sont dispersés dans la toundra et sont bien adaptés aux conditions rigoureuses. La neige protège leurs nids.

Après ce premier emploi, il a  travaillé sur une île plus au nord où on accède seulement en avion (des twin otter). C’était un endroit très prisé des ours blancs et un inuit était avec eux pour veiller à leur sécurité. Le campement était installé sur un promontoire et le travail de recherche sur les oies se faisait dans la falaise où elles nichent sur des corniches très étroites.  Une poulie leur permettait de monter et descendre leur matériel pour la recherche sur ces oiseaux marins. Il fallait aussi porter des vêtements appropriés pour travailler à ces endroits car les moustiques y sont par nuées. De cette falaise on pouvait admirer en contrebas des bélugas, des renards arctiques qui, pendant l’été, perdent leur beau pelage blanc et  des faucons pèlerins qui sont des prédateurs. Comme les couples d’oiseaux sont très fidèles et reviennent toujours au même endroit sur la corniche, ils sont numérotés sur les photos, on leur posaient des senseurs pour  connaître la distance parcourue pour aller à la pêche et à partir des photos il était facile de les repérer pour prendre les relevés.

 Pour ce rendre en Antarctique où M. Desgranges a fait une croisière sur un bateau d’expédition russe, on passe par la Terre de feu et les îles Falkland. Pour la visite des îles, tout est prévu pour ne pas apporter de contaminants ou d’espèces étrangères, il faut désinfecter les bottes avant de mettre pied à terre. Les îles Falkland sont très belles mais suite à la guerre entre l’Argentine et l’Angleterre pour la possession de ces îles, il y a encore des mines non éclatées et il est dangereux de s’y promener. Les manchots et les oiseaux qu’on y trouve sont très familiers et n’ont pas peur des hommes, d’ailleurs M. Desgranges nous montre une photo de lui avec un manchot sur les pieds. En Géorgie, dépendance des Falkland, il y a beaucoup de villages abandonnés qui sont maintenant utilisés par les britanniques pour la recherche.

M. Desgranges nous montre ensuite des photos époustouflantes de paysages de l’Antarctique dont un cimetière de baleines. Sa prochaine croisière dans ces contrées froides qu’il affectionne : de la Laponie au Svalbard, archipel à l’est du Groenland.

 Bon voyage M. Desgranges et merci pour ce beau voyage.

   

2ème EXPOSÉ : Mme Pauline Tanguay, fondatrice et directrice générale d’Accès-Loisirs

Fondé en 2005, c’est un organisme communautaire qui vise à favoriser l’accès aux loisirs pour lutter contre la pauvreté et l’isolement. Il offre des activités sportives, culturelles et de plein air pour des familles, des enfants et des personnes seules qui vivent une situation de faible revenu.

 Mme Tanguay qui a l’air d’une personne très décidée et organisée constate  que beaucoup d’organismes communautaires offrent aux personnes démunies de l’hébergement, de la nourriture, des vêtements mais pas de loisirs pour briser l’isolement des familles et personnes seules à faible revenu. En 2000, elle décide de trouver une façon d’offrir des loisirs gratuits pour ces personnes de 0 à 99 ans, mais comment? Pour ce faire elle a besoin de partenaires qui peuvent lui donner des places gratuites au sein de leurs activités pour qu’elle les donne aux personnes dans le besoin. Par exemple, dans un cours de danse ou de natation personne ne sait qu’une place gratuite a été donnée et ça n’enlève rien à personne. Et avec ces partenaires, pas besoin de contrats, une bonne poignée de main suffit. En 2002 elle reçoit de l’aide de Centraide pour son projet mais depuis 2005 c’est un organisme autonome et le modèle s’étend à toute la province.

 Mme Tanguay a calculé que depuis 2003, 2.5 M$ ont été ainsi offerts en cours et loisirs gratuits. Pour qui? Toute personne à faible revenu, immigrant, famille, personne seule, personne âgée. Pour s’inscrire il y a 12 points de services à Québec qui prêtent leurs locaux 1½ journée pour prendre les inscriptions à chaque session. Pour y avoir droit il faut fournir une preuve de revenu, déclaration de revenu, carte d’étudiant, carte de médicaments de l’aide sociale. Accès-Loisirs a toujours besoin de bénévoles pour ces journées d’inscription et de mamies pour garder les tous petits pendant que les mamans sont en cours.

 Mme Tanguay dispose d’un tout petit bureau grand comme une garde-robe à la Maison des entreprises du cœur. Elle n’a pas besoin d’un bureau de PDG, celui-ci lui suffit nous dit-elle. Elle va chercher les équipements sportifs qu’on veut bien lui donner, les billets de spectacles, etc. Un jour par exemple, une dame lui a donné un vélo, elle l’a donné à une jeune femme de ménage pour se déplacer. Et bien c’était le vélo de la donatrice qui s’est retrouvé dans sa cour une fois semaine et maintenant la dame siège sur le c.a. de l’organisme. Une planche à voile s’est retrouvée ainsi dans la Baie de Beauport en échange de cours gratuits pour des jeunes.

Merci Mme Tanguay pour votre enthousiasme contagieux et bonne chance.

 Pour renseignements :

Accès-Loisirs Québec
2120, rue Boivin, Québec, arron. Ste-Foy
Tél : 418-657-4821
Téléc. 418-657-7155
Courriel : acces-loisirs@bellnet.ca
Site : www.accesloisirsquebec.org

 

 3ème EXPOSÉ Vieillissement normal  et ses effets sur la communication par Mme Mylène Bilodeau-Mercure, assistante de recherche

Mme Bilodeau-Mecure nous parlera de l’organisation du langage dans le cerveau, de la spécialité médicale qui traite les troubles du langage  (l’orthophonie) et des travaux sur les effets du vieillissement, sur la perception et la production du langage.

 Ce sujet intéresse les chercheurs de l’Université Laval parce que de 6 à 12% des personnes âgées de 60 ans et plus ont des troubles de communication, de compréhension, de cognition et surtout de perception et production de la parole. La perception est la capacité à reconnaître et distinguer les sons d’une langue. Certains sons se ressemblent, comme le s et ch, et il peut être difficile de distinguer ces sons dans le bruit, au restaurant, au cinéma, etc.

 La perception c’est auditif et visuel. Inconsciemment dans une conversation on lit sur les lèvres, on décode les gestes, les mouvements du visage, des mains, du corps. C’est pourquoi on entend des personnes dire « quand j’enlève mes lunettes j’entends moins bien ». C’est la même chose quand on parle au téléphone, on ne voit pas les gestes et la mimique de son interlocuteur. En vieillissant on se rend compte qu’on a plus de difficultés à percevoir les sons aigus, les sons graves sont plus facile à percevoir. Il peut donc être plus difficile de comprendre nos petits-enfants avec leur petite voix aigue, mais moins les adultes. Ce phénomène s’appelle la presbyacousie, c’est une perte lentement évolutive de l’audition.

 Mme Bilodeau-Mercure nous explique maintenant tout ce que la production de la parole implique :

 – La respiration fournit l’énergie pour parler, on ne peut parler sans respirer. La perte de la capacité pulmonaire amène des difficultés pour parler.

 – La phonatique  concerne l’ensemble des facteurs à la production de la voix, la position de la bouche, les cordes vocales et leurs vibrations, la diminution de la force musculaire et les problèmes reliés à cela, la rigidité des cordes et la diminution de la capacité de mouvement.

 – L’articulation à chaque son, la langue et les lèvres bougent. Parler c’est précis et complexe, on le fait sans y penser et sans penser à ce que cela  implique.

 – La résonance le son oral, le son nasal, on connaît le changement qui s’opère quand on a le rhume, on dit qu’on parle du nez. Les sons sont différents. Dans le son nasal, le voile du palais s’abaisse pour laisser passer l’air.

Le contrôle des muscles de l’articulation part de cortex moteur. Dans le cerveau, la place de la parole prend plus de place que le fait de lever la jambe par exemple. En vieillissant la taille du cortex diminue, il y a des impacts sur la capacité à être compris et sur la vie sociale.

Il se fait beaucoup de recherches sur des maladies comme le parkinson et la parole, mais il y a peu de comparables dans les recherches avec des personnes dont les effets du vieillissement sont ¨ normaux ¨ et ceux qui ont des problèmes. Des bénévoles de 50 à 100 ans ¨ normaux ¨ seraient très utiles aux chercheurs, afin d’établir des comparables pour élaborer des traitements.

 Merci Mme Bilodeau-Mercure et bonne chance pour votre maîtrise.

Pour participer à la recherche,
Tél : 418-663-5000, poste 4231
Courriel : laboratoireparole@crulrq.ulaval.ca
 

 

4ème EXPOSÉ La Société Provancher, Qui sommes-nous? Mme Louise Fortin et M. Jean-Claude Caron, administrateurs

– Petit historique de la Société : fondée en 1919 par des amants de la nature – francophones et anglophones – avec une charte fédérale, ce qui explique le e plutôt que le a dans le mot Provancher dans les textes de la charte qui sont quand même en français. Jusqu’à 1920 il y a eu alternance de francophones et d’anglophones à la présidence. On peut résumer sa mission à ces trois mots : j’aime, j’instruis et je protège. La Société est ainsi nommée en l’honneur du célèbre naturaliste l’abbé Léon Provancher (1820 à 1892).

– Ses mandats : conservation de la nature, suite à la disparition des grandes oies blanches en 1910, « leur nombre est descendu à 10,000 et aujourd’hui il y en a près d’un million », vulgarisation des sciences naturelles et prolongation de l’œuvre de l’abbé Provancher.

– Ses territoires : l’île aux Basques, acquise en 1929 et située en face de Trois-Pistoles, les îles Razades, acquises en 1927, le site historique Napoléon-Alexandre-Godbout situé à Godbout, les îlets de Kamouraska acquis en 1997, le marais Provancher situé à Neuville et acquis en 1996 et 125 acres de terrain  au lac Clair dans Portneuf qui se détérioraient à cause de travaux forestiers.

            Le Marais Provancher : le marais est situé à Neuville, en bordure du fleuve et accessible en tout temps. Il a été aménagé par ¨Canards illimités¨ pour l’observation des canards. Il y a des sentiers d’observation  sur les battures, des plantes rares en bordure du fleuve et beaucoup d’espèces d’oiseaux. Le site est aussi très bien aménagé pour y recevoir des visiteurs, il y a un stationnement, des toilettes et l’hiver on peut  y faire du ski de fond. Les pistes sont entretenues par la ville de Neuville.

             L’île-aux Basques : l’île-aux-Basques est située en face de Trois-Pistoles. D’une longueur de 1½ km et large de 2 km on y accède par un bateau piloté par le maire de Trois-Pistoles s’il-vous-plaît. Sur l’île, on a recensé pas moins de 200 espèces d’oiseaux et 400 sortes de plantes.

On y trouve 3 chalets de 4 ,8 et 16 places, réservés aux membres de la Société qui peuvent les louer pour 7 jours et s’ils sont chanceux, une grosse mer peut leur valoir une journée de plus gratuite si il y a impossibilité de venir les chercher. Un centre d’interprétation est installé sur l’île et l’été quand le temps le permet, on peut y faire des visites d’une demi-journée. Des fouilles archéologiques ont permis de mettre à jour des sites où venaient les amérindiens il y a 7000 ans et des vestiges de fourneaux basques datant du 16ème siècle, là où ils allaient  chasser et pêcher. La berce laineuse, une plante qu’on retrouve sur l’île, est  encore utilisée par les hurons comme plante médicinale. En 1918, ils l’ont utilisée pour soigner la grippe espagnole.

Depuis 1994, la Société Provancher assure aussi la publication de la plus ancienne revue scientifique de langue française, le Naturaliste Canadien, fondée en 1868 par l’abbé Provancher. La Société a publié récemment un livre sur L’île-aux-Basques. M. Caron rédige aussi une infolettre qu’on retrouve sur internet. Elle est envoyée sur demande à ceux qui s’abonnent sur internet. La Société a aussi commencé à programmer des conférences, elles seront annoncées sur le site. Qui peut devenir membre? Tous ceux qui le veulent à condition de payer sa cotisation comme nous le dit M. Caron avec un petit sourire en coin.

Merci Mme Fortin et M. Caron

La Société Provancher d’histoire naturelle du Canada

1400, route de l’Aéroport
Québec, G2G 1G6
Tél : 418-554-8638
Courriel : societeprovancher@gmail.com
Site : www.provancher.qc.ca
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Nous faisons une pause de 5 minutes pour dégourdir les jambes et au retour, les coups de cœur-livres, les coups de cœur-films, les offres et demandes qui ont maintenant leur propre rubrique sur le site et les tirages.

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Coups de cœur-livres :

– Immortelle randonnée : Compostelle malgré moi! Jean-Christophe Ruffin, Éditions Guérin

 -Toute la vérité sur l’affaire Quebert : sous ses airs de thriller à l’américaine, c’est une réflexion sur l’Amérique. Joël Dicker

 Coups de cœur-films :

– Hemingway et Gellhorn, film de Paul Kaufman avec Clive Owen et Nicole Kidman

 – Amour, film avec Jean-Louis Trintignant et Emmanuelle Riva

 Les tirages :

 – Flyé-flyé : M. Louis Lamothe et Mme Lucille St-Hilaire gagnent chacun 25.00$      

Prix de présence :            

– Mme Louise Guérard gagne 20.00$

– Mmes Thérèse Voisard et Louise Poulin gagnent  des épinglettes des Retraités flyés

– Mme Chantal de Varennes gagne une magnifique jardinière de géranium calliope, gracieuseté des Serres Fortier.

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Cette belle soirée se termine par le café prolongé où nos participants en profitent pour s’entretenir avec nos conférenciers et les autres participants.

 

Merci au Marché d’alimentation IGA Deschênes du 255 ch. Ste-Foy qui nous offre gracieusement le café et les biscuits.

 

Merci aux Serres Fortier de St-Nicolas pour la superbe jardinière offerte au tirage.

 

N’oubliez pas les déjeuners flyés le 3ème jeudi du mois 9h30 et les lunches anglophiles le 1er mardi du mois à 11h30, les deux au resto Tutti Frutti du 47 Boul. René-Lévesque,  de même que le 5 à 7 espagnol, le 2ème vendredi du mois au resto Copas du 595 Grande allée.

 

Bon été et on se retrouve le 27 septembre à 19h00 au centre de Loisirs St-Sacrement, 1360 Boul. de l’Entente, Québec.

 

Pour nous joindre :

courriel : info@retraitésflyesregionquebec.org                                        

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