Odette et Aimé, nos GA (Gentils Animateurs), nous accueillent en cette belle soirée de mai qui contraste avec la mauvaise température de la rencontre du 28 mars dernier. Comme nous terminons l’année 2013-2014 et que nous préparons déjà notre saison d’automne, Aimé demande à nos participants de faire des suggestions soit pour des sujets de conférences, des choses dont vous aimeriez entendre parler ou peut-être des suggestions pour renouveler notre formule. Profitez de notre courriel pour nous les faire savoir.

Aimé nous présente maintenant Réjeanne, notre coordonnatrice, qui nous rappelle nos leitmotivs : rassembler, informer et inspirer. Elle  nous informe aussi que comme nos déjeuners flyés sont très populaires, au prochain,  nous  changerons de section au resto Tutti Frutti.

Ce soir, 13 nouveaux participants se sont joints à nous dont 2 de la Rive-Sud, bienvenue à tous et maintenant, en route pour le 5 minutes de bonnes nouvelles.

– Aimé ouvre le bal en nous rappelant que la Maison Revivre a fêté ses 35 ans de générosité en avril dernier. Depuis ce temps, 1,175,000 repas ont été distribués, 23 familles sont aidées présentement et ça, sans subvention. À cette occasion une grande soirée d’anniversaire a été organisée et entièrement payée par un mécène.

– Pour sa part,  Jacinthe nous dit qu’elle a peinturé toute la semaine et qu’elle n’a mal nulle part, bravo!

– Chantal revient toute heureuse d’un très beau voyage au Pérou.

– Un monsieur a gagné 5.00$ à la loto et se réjouit de l’été qui s’envient enfin.

– Un autre nous dit avoir vu beaucoup de touristes dans le Vieux-Port, ce qui augure bien pour la saison d’été.

– François a eu l’immense bonheur de se faire chanter 5 fois ¨ Bon anniversaire ¨ par son petit-fils de 2 ans. Oh les oreilles….

– Jacinthe nous revient pour nous dire qu’un couple de cardinals vient tous les jours lui chanter la sérénade.

– Une dame est toute contente d’avoir pu avoir une parcelle dans un jardin communautaire.

– Une mélomane nous fait part de son bonheur d’avoir entendu La Callas dans un nouvel enregistrement remastérisé.

– Odette a pu profiter de toute une fin de semaine avec sa fille qui est venue de Calgary voir ses parent sans mari ni enfants.

– Une autre dame partage avec nous son bonheur, elle sera grand-mère en août.

Dernières informations : les déjeuners flyés, les 5 à 7 espagnols et les lunchs anglophiles continuent tout l’été et la marche aura lieu le 13 août à 13h00 et cette fois à la Promenade Samuel de Champlain et Aimé nous assure que ce n’est pas une marche pour les olympiens, donc toutes et tous peuvent y participer.

1er exposé : Ce soir, nos premiers conférenciers n’ont pas besoin de beaucoup de présentation puisque nous aurons le plaisir d’entendre Odette et Aimé nous parler d’un voyage qu’ils ont fait avec enfants et petits-enfants à Hawaï pendant les Fêtes, et dont ils sont revenus absolument conquis.

D’abord, Aimé nous assure que ça vaut la peine mais que c’est ¨ben long¨, donc il faut mieux le faire avec escale. C’est aussi dispendieux mais, en mai-juin et septembre-octobre c’est plus abordable. Comme on s’y attend, la première chose qu’on entend en arrivant c’est ¨Aloa¨ qui veut dire bonjour, adieu, au revoir, bienvenue etc…. On est très bien accueilli mais maintenant on ne met plus de colliers de fleurs au cou des touristes, il faut les acheter. Ce soir Aimé porte une magnifique chemise de soie rouge avec un palmier tout discret brodé sur la poche et aussi un collier de noix de macadam porté seulement par les hommes. Odette elle a mis une fleur d’hibiscus à l’oreille gauche signe qu’elle est mariée, les célibataires la portent à l’oreille droite. Leur drapeau est l’Union Jack car les îles ont été découvertes par un anglais, James Cook, qui au départ les a nommées Îles Sandwich du nom de son mécène. Ces îles sont en fait des sommets de volcans ce qui donne une faune et une flore absolument unique et de magnifiques plages de sable noir.

Dès 400 ans après Jésus-christ, des philippins sont venus coloniser l’archipel et en l’an 1000, ce sont des tahitiens qui s’y installent. À partir de l’an 1,200 ils fondent des dynasties et chaque île a son roi. James Cook arrive en 1778 et vers 1820 ce sont des missionnaires protestants qui viennent s’y installer, ils ont imposé leur religion entraînant la perte des coutumes et traditions de ces peuples. Les hommes et les femmes portaient le pagne à la taille et ils ont demandé aux femmes de se couvrir la poitrine d’où les noix de coco sur les seins. En 1892 les États-Unis font d’Hawaï un territoire annexé et c’est en 1959 que l’archipel devient le 50ème état américain. En 1927, les premiers grands paquebots commencent à y amener des touristes et l’avion fait ses premiers voyages en 1937.

Les Îles :

– Kauai, l’île la plus occidentale, est surnommée ¨l’île jardin¨, c’est l’endroit idéal pour des vacances, elle est le site qui reçoit le plus de touristes. Un grand canyon vieux de 64,000 ans fait partie de ses attraits. Après Kauai, on met le cap sur Oahu où se trouve la capitale Honolulu. Elle contient les ¾ de la population de l’archipel soit 900,000 habitants, c’est aussi la plus connue, on y trouve le célèbre port de Pearl Harbor où une partie de la flotte américaine fut détruite par les japonais en 1941 sans déclaration de guerre et aussi la non moins célèbre plage de Waikiki, paradis des surfeurs. C’est aussi sur cette île que le président Obama a vu le jour.

L’île suivante est Malokai, 8,000 habitants, qui elle aussi offre des plages magnifiques. De grosses vagues y font le bonheur des surfeurs et des bancs de coraux ravissent les amateurs de plongée sous-marine. Lanai était surnommée l’île aux ananas, de 1922 à 1985 elle était la propriété de la compagnie Dole, c’est aujourd’hui un site de tourisme luxueux.

L’île d’Hawai, la plus grande des îles, s’est formée à partir de la réunion de 2 volcans par les coulées de lave. Ses volcans sont encore actifs. On y cultive l’ananas, la canne à sucre. Les pluies abondantes, concentrées autour des volcans donnent une végétation luxuriante.

Les nuages ont toujours l’air agrippés aux volcans ce qui donne de spectaculaires arcs-en-ciel mais à quelques kilomètres de là, les côtes sont presque désertiques, on doit amener l’eau par des tuyaux souterrains pour créer les paysages de fleurs. Si on est lève-tôt, on peut aller admirer des levers de soleil à couper le souffle mais il faut partir de l’hôtel à 2h00 du matin. Odette et aimé ne les ont pas vus! Les autoroutes sont bordées de bougainvilliers et d’oiseaux du paradis et partout des orchidées.

On ne peut parler d’Hawaï sans mentionner les spectacles de danses traditionnelles. Les danseuses commencent leur entraînement à 5 ans. Les costumes sont de deux sortes d’écorce d’arbres teints avec des couleurs naturelles et peints et les mouvements sont inspirés de leurs légendes, traditions et de la nature.

Merci Odette et Aimé pour ce beau voyage.

2ème exposé : Débarquement en Normandie 6 juin 1944, M. Amand Beaufils

M. Beaufils, français d’origine, est venu au Québec en 1958. D’abord ébéniste, il a ensuite entrepris une carrière d’homme d’affaires dans le domaine des cosmétiques. Cette année nous commémorons les 70 ans du débarquement de Normandie, M. Beaufils avait 10 ans à l’époque et habitait le petit village de Mestry à une quinzaine de kilomètres des plages. Avec sa famille,  il a vécu les péripéties des années de guerre. Écoutons-le nous raconter…….

M. Beaufils nous raconte d’abord que cet événement a demandé 2 années de préparation en Angleterre. Pourquoi le 6 juin? Parce que c’était un soir de belle lune, avec des marées favorables pour pouvoir repérer les pieux plantés dans la mer sur lesquels les bateaux pouvaient s’empaler. Sur la manche, 700 navires et 11,000 avions avancent pour le débarquement prévu à 6h30. Arrivés avant que la marée soit haute, les navires restaient au large et des péniches amenaient les soldats où les allemands attendaient. Le 1er jour il y a eu 3,000 morts et blessés. 132,000 soldats sont débarqués sur le sol français cette nuit-là. Les américains, débarqués sur les falaises, ont dû les escalader avec des échelles de corde. Une batterie allemande, en poste en haut de la falaise, tirait plutôt sur les bateaux ce qui a réduit les pertes.

La veille, le 5 juin au soir, des milliers d’avions ont amené 22,000 parachutistes qui ont malheureusement atterri à quelques km de l’endroit prévu.

Les soldats canadiens eux sont débarqués à Juno Beach, les américains sont à St-Pierre-Église et les anglais à Romanches où on a fait un port artificiel avec de vieux bateaux. À St-Pierre-Église, un parachutiste américain est resté accroché au clocher de l’église pendant près de 6 heures, on a même dit au village que lorsque les cloches ont sonné à toute volée ça l’a rendu sourd.

Le petit Amand a 10 ans  à ce moment-là, il habite le petit village de Mestry qu’on ne retrouve plus sur une carte aujourd’hui, comme quelques autres. En 1939 il y a eu la mobilisation, il a vu partir son père avec beaucoup d’autres hommes du village, il avait 5 ans.  Son père est parti en septembre mais a quand même pu venir en décembre pour le baptême de sa petite sœur. Après, ils l’ont attendu 5 ans, jusqu’à la fin de la guerre. Sa mère était en charge de la famille dont il était l’aîné. Les allemands étaient au village, certains campaient près de chez lui. Ce n’était pas des SS mais des soldats de l’armée régulière. Amand sentait bien une certaine anxiété dans la famille mais, il nous dit qu’il n’était pas tout à fait conscient de la situation, il se souvient qu’il fallait faire attention quand on parlait des boches. Sa famille vivait sur une ferme et hébergeait 2 allemands qui se révélaient de commerce assez agréable selon lui.

Le 6 juin, tôt le matin, le bruit de tonnerre qui régnait sur les plages s’est rendu jusqu’à son village malgré la distance. Les troupes allemandes sont allées sur les plages défendre leurs positions. Après trois jours de combats féroces, c’était le vendredi, il s’en souvient, car c’était la journée où on faisait le beurre à la ferme et où on allait le vendre au marché, des soldats habillés en kaki, les allemands eux étaient en vert, sont arrivés dans le village, sautant par-dessus les haies. La famille est allée se cacher dans les tranchées creusées par le village pour 3 familles. Les soldats les ont fait sortir de là et sont repartis. Après leur départ, on a vu des traces de doigts sur la boîte de beurre qui était sur la table de la cuisine.  À quelques km de là les allemands les attendaient, la bataille a durée 3 mois dans ce petit secteur.

À 10 ans, entendre les bombardements, voir les parachutistes descendre du ciel, des bombes tomber, c’était très impressionnant et effrayant. Ce sont des souvenirs qui ne s’effacent jamais.

Merci M. Beaufils pour cet émouvant témoignage.

3ème exposé : Découvrir la Capitale, Mme Julie Payeur

Mme Payeur est bachelière de l’université Laval en sciences historiques et études patrimoniales. Elle a récemment terminé sa maîtrise en développement touristique à l’UQAM. Mme Payeur est à l’emploi de la Commission de la Capitale Nationale depuis 7 ans, d’abord comme guide-animatrice pour le programme ¨ Découvrir la capitale ¨ et maintenant comme chargée de projets, elle est responsable des projets éducatifs pour les différents sites et programmes. De plus, elle supervise plusieurs projets d’interprétation, à l’Observatoire de la capitale et au parc du Bois-de-Coulonge. Maintenant partons avec Mme Payeur à la découverte de notre capitale, des sites et lieux à visiter.

Créée en 1995 par l’Assemblée Nationale, la CCNQ a pour fonction de planifier l’aménagement et l’embellissement de la capitale, d’en faire la promotion par un programme varié d’activités, de découvertes et de commémorations et de conseiller le gouvernement du Québec sur la mise ne valeur de son statut.

Voici un aperçu de ce que nous offre la capitale :

– L’Observatoire de la capitale : situé au 31ème étage de l’édifice G ou l’édifice Marie-Guyart si vous préférez. Les grandes baies vitrées de l’observatoire vous donnent une vue spectaculaire de la ville de Québec sur 360* et à 221 mètres d’altitude.

– Les fresques : 17 fresques en trompe-l’œil embellissent la ville. Elles nous présentent de grands personnages et des pans importants de notre histoire. Pour les découvrir, 3 circuits à faire en voiture, à vélo ou à pied.

– Les mises en lumière de nos beaux bâtiments patrimoniaux dont le parlement permettent de les mettre en valeur d’une façon originale.

– Les sites archéologiques, dont le site Cartier-Roberval à Cap-Rouge tout près du Tracel, en haut de la marina. En 1534, des colons français ont tenté un établissement a cet  endroit, on peut en visiter les vestiges. Cet endroit aurait pu devenir la Capitale. Au Musée de l’Amérique française, jusqu’au 4 janvier 2015, des artefacts de ce site sont exposés.

– Les promenades dont la plus connue est probablement la Promenade Samuel-de-Champlain attirent beaucoup de promeneurs. C’est un legs de la ville de Québec à l’occasion de son 400ème anniversaire. Elle se déroule sur 2.5 km le long du fleuve. 23 panneaux d’information la jalonnent de même que plusieurs œuvres d’art. Une tour d’observation s’élève à la station des Cajuns où on retrouve aussi un restaurant tenu par le Panache et une aire de repos très bienvenue après la promenade. On peut s’y rendre en voiture, à pied et en autobus par le circuit 400. La plage Jacques-Cartier est aussi un endroit magique où se promener sur le bord du fleuve.

– Les parcs et espaces verts : la CCNQ a aussi charge de 16 parcs et espaces verts, parmi ceux-là, le parc du Bois-de-coulonge ancien lieu de résidence des lieutenants-gouverneurs dont la belle demeure a été détruite par un incendie. C’est un des plus beaux jardins du Québec, il y a un centre d’interprétation. Le domaine Cataraqui sur le chemin St-Louis en est un autre. Abandonné pendant 25 ans, on a préservé le bâtiment principal, rénové depuis 2002. L’école d’hôtellerie y a ses quartiers et ses beaux salons servent pour des réceptions officielles. On peut visiter gratuitement la maison 4 dimanches par été. À la fête des pères un brunch y est offert par le restaurant le St-Amour.

La CCNQ organise aussi des activités culturelles, des expositions et dès l’automne, en collaboration avec le Musée de la civilisation, une série de conférences.

D’ailleurs, maintenant il est facile de s’informer par les réseaux sociaux de tout ce que la CCNQ peut nous offrir.

Merci Mme Payeur pour ce très instructif exposé.

4ème exposé : Un Jardin sur son Balcon par M. Frédérick Madore

Vous avez déjà lu qu’Obélix est tombé dans la potion magique quand il était petit, et bien Frédérick lui est tombé dans les fleurs. C’est un passionné d’horticulture qui fait un doctorat en histoire dans ses temps libres….. Les nombreuses heures de travail qu’il a passées à aider ses parents Aux Serres Fortier à St-Nicolas lui ont permis de développer un intérêt et des connaissances qu’il veut bien partager avec nous ce soir. Il nous fera une présentation sur ¨ l’horticulture urbaine ¨ et plus précisément sur la culture sur balcon, une tendance de plus en plus populaire ces dernières années.

Au départ Frédérick nous assure qu’il est facile de cultiver des légumes sur son balcon et que les résultats peuvent même être meilleurs que dans un potager parce que les ennemis et prédateurs ne sont pas là. Il n’y a pas de marmottes sur  le balcon.

Le choix des légumes à cultiver est le même qu’en potager, carottes, haricots, tomates, aubergines, laitues et bien sûr les fines herbes se cultivent bien en pot. Quoi de mieux que quelques feuilles de laitue fraîche ou  de basilic dans un bon sandwich. Tout dépend de l’emplacement du balcon par rapport à la lumière et de sa grandeur. L’idéal c’est d’être en plein soleil, face au sud ou à l’est mais une bonne luminosité peut suffire, il s’agit de choisir les plantes appropriées à notre emplacement. Pour ces choix les centres jardin seront de bon conseil.

Pour le balcon :

En plein soleil : 6 heures d’ensoleillement et très lumineux, sud, sud-ouest

– Tomates :  choisir des tomates ¨déterminées ¨c’est-à-dire dont la hauteur est contrôlée, les ¨ indéterminées ¨ montent trop haut pour la culture sur le balcon.

– Concombres, poivrons, piments sont faciles à cultiver de même que les carottes, choisir des variétés courtes et des pots profonds.

– Haricots et fèves sont aussi de bons choix et bien sur les fines herbes.

Pour un balcon exposé au nord et à l’est, toutes sortes de laitues, (c’est bien meilleur qu’à l’épicerie) et ça prend très peu d’espace. Les radis, épinards et poireaux demandent aussi moins de lumière.

Pour le patio qui offre un peu plus d’espace,

– Les aubergines Pot Black sont des plans plus petits que l’aubergine qu’on mange habituellement et ils sont très productifs.

– Les piments Redskin sont une variété qui produit beaucoup.

– Les tomates Mégabyte, de belles grosses tomates de type beefsteak poussent sur de petits plans compacts de 45 cm de haut et bien sûr, les tomates cerises.

Le contenant : plus il est grand mieux c’est, un contenant trop petit va contenir trop de racines et va vite s’assécher, ne pas oublier de faire un trou au fond pour le drainage.

Le terreau : un bon terreau pour boîte à fleurs  fera très bien l’affaire, pas de terre à jardin ni de terre noire, trop compacte et qui se draine mal. Laisser quelques cm entre le terreau et le bord du pot pour éviter que l’eau déborde à l’arrosage et  ne pas mettre de gravier dans le fond du pot non plus.

L’arrosage : il se fait en fonction de la variété et de la sorte de légumes. Si vous êtes souvent absent, demander à quelqu’un de venir arroser pour ne pas perdre votre récolte. Quand la plante a beaucoup de feuilles il faut arroser même quand il pleut car l’épaisseur de feuillage peut empêcher l’eau de pluie de pénétrer dans le pot et ne se rend pas aux racines.

L’engrais :  il faut en mettre régulièrement, suivre les directives du fabriquant et  ne pas en mettre trop. Une couche de compost au fond du pot est recommandé aussi. Si on est un peu paresseux il existe des engrais à dissolution lente qui font le travail s’en qu’on ne s’en occupe.

Très important, il faut tenir compte de la solidité de son balcon pour la sécurité de nos voisins d’en dessous et faire attention à l’arrosage pour que ça ne déborde pas sur eux.

Bon jardinage

Merci Frédérick pour ces précieux conseils.

C’est le temps de la pause et au retour nos coups de cœur livres et films, les tirages.

Coup de cœur films :  Le règne de la beauté de Denys Arcand, plus pour la beauté des paysages que pour l’intrigue

Un été en Provence

Coup cœur livres : Une année en Provence de Peter Mayle

Ma mère est un flamant rose de Francine Ruel

Théorème du homard de Graeme Semsion

En pleine conscience de Suzan Chapman

Sœur Marie-Paule, Marie-Paule Ross

Zéro déchet de Bea Johnson

Les tirages : en cette fin de saison nos tirages ressemblent à une distribution de prix de notre enfance comme nous avions à l’école.

Il y a notre prix de présence de 20.00$, 2 prix de moitié-moitié de 20.25$, 3 beaux plans pour le balcon que Frédérick a apportés, un d’aubergine, un de tomates cerises et un de poivron et 15 livres, édités par la CCNQ, dont Regard sur la Côte des Beaux Prés et Les grands d’aujourd’hui racontent ceux d’hier, apportés par Mme Julie Payeur.

Comme d’habitude, cette soirée se termine par les échanges avec nos conférenciers et les autres participants. Les conversations vont bon train et on se souhaite bon été et au plaisir de se revoir à l’automne.

Merci au Marché IGA Deschênes du 253 ch. Ste-Foy qui nous offre le goûter.

Notre prochaine rencontre-conférences aura lieu fin septembre, surveillez notre site pour savoir la date. Nos autres activités, les déjeuners flyés, les lunchs anglophiles et le 5 à 7 espagnol continuent tout l’été et la marche se déroulera le 13 août à 13h00 à la Promenade Samuel de Champlain.

Bon été à toutes et à tous, profitez-en bien……

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