Pour débuter cette rencontre, après les mots de bienvenue, Odette et Aimé procède à un petit sondage pour savoir d’où viennent les participants que nous avons toujours autant de plaisir à accueillir. Ce soir il y en a beaucoup de nouveaux et on remarque qu’il y a plus de messieurs que d’habitude aussi. Nous avons des participants de Charny, plusieurs de la Rive-Sud, un de Lotbinière et même un de Terre-Neuve. Les sources d’informations pour nous rejoindre sont aussi très diversifiées, des affiches, internet et la suggestion d’une amie. Bonne soirée à tous.

Comme c’est l’habitude depuis quelque temps on commence par le 5 minutes de bonnes nouvelles.

        Une participante nous fait partager le plaisir qu’elle a eu d’aller faire le plein de vitamines à Cuba pour affronter l’hiver. Une autre qui revient d’un safari-photo au Kénya avec Louise une membre de notre c.a. nous dit son émerveillement quand le groupe a aperçu un troupeau d’éléphants. Une grand-maman est tout heureuse de la joie de son petit-fils qui fait partie d’une chorale à Laval et qui a été choisi avec une dizaine d’autres petits garçons pour accompagner Marie-Mai au Centre Bell. Aimé, notre animateur, a été très impressionné après avoir vu un spectacle du magicien Luc Langevin. Un livre, avec 12 tours inédits faciles à faire pour les enfants, attend déjà bien emballé dans les bagages, pour ses petits-enfants. Une grand-maman est toute heureuse après que son petit-fils lui ait dit qu’elle était la meilleure grand-maman du monde. Odette notre animatrice est allée écouter le concert donné par les Violons du Roi et intitulé « Vivaldi à Paris », un pur délice et ces concerts des Violons du Roi sont en après-midi.  En passant, Vivaldi n’a jamais mis les pieds à Paris. Ce concert s’est terminé en beauté par une courte pièce sur le nouvel orgue Casavant construit spécifiquement pour la salle de concert du Palais Montcalm. Une autre participante, dont le moteur de sa Hyundai a sauté pendant un voyage aux Etats-Unis, suite à un changement d’huile par un incompétent, a été très satisfaite par la célérité avec laquelle Hyundai USA a réglé le problème. Une autre, dont l’ordinateur a planté, en aura un neuf.

        Avant nos exposés nous aurons le plaisir d’avoir un petit intermède musical avec M. Denis Breton accordéoniste. M. Breton se considère comme un bricoleur dans le domaine musical. Récemment il a pris plaisir à jouer pendant un repas pour des personnes âgées et il a été séduit par la magie de leurs yeux brillants, elles en oubliaient de manger dit-il, tandis qu’elles retrouvaient des airs de leur héritage culturel, enfouis dans les boules à mites de leur cœur.

1er exposé : Mme Lucille Juneau, Le Centre d’excellence sur le vieillissement de Québec

        Mme Juneau est détentrice d’une maîtrise en sciences infirmières de l’Université Laval, d’une scolarité doctorale et d’une résidence de recherche appliquée en administration des services infirmiers. Elle a terminé une formation en gestion de projets et en informatique et santé. Elle est directrice clientèle soins aux aînés et vieillissement du CHU de Québec et du Centre d’excellence sur le vieillissement de Québec. Son expertise s’est déroulée dans différents milieux de soins. Elle est auteure et co-auteure de plusieurs articles et rapports publics et privés.

        Le Centre d’excellence sur le vieillissement de Québec travaille en collaboration avec les hôpitaux de Québec, le CHUL, l’Enfant-Jésus, la Maison Triquet et St-Sacrement entres autres. En 2003, le ministre de la santé de l’époque M. Philippe Couillard annonçait le développement du CEVQ et depuis 2007, le CEVQ offre ses services à l’hôpital St-Sacrement. Mme Juneau nous assure que chaque jour, c’est une équipe extrêmement engagée qui travaille pour le bien-être des aînés. Plusieurs volets sont déployés pour répondre à tous les besoins.

– L’enseignement : la formation continue et à distance se donne auprès de toutes sortes de professionnels, partout dans la province et pour certaines régions qui n’ont pas chez elles accès à l’enseignement universitaire. Le CEVQ lui, dessert tout l’est de la province. S’ajoute à cela la consultation à distance, utilisant des technologies de pointe. 51 professions sont sollicitées pour collaborer  à garder en santé les personnes de 50 ans et plus. Des programmes communautaires sont mis sur pied pour favoriser l’usage optimal des médicaments. Les gens prennent des produis de toutes sortes et les personnes âgées souvent, prennent beaucoup de médicaments, somnifères, médicaments contre la douleur, laxatifs, tranquillisants. Dans ces programmes communautaires, des infirmières vont leur parler de médicaments prescrits, en vente libre, naturels et proposent des alternatives. Il y a aussi des conférences grand public, des ateliers de 7 heures et des conférences pour professionnels. Les prochaines conférences grand public auront lieu au Montmartre canadien sur chemin St-Louis mercredi le 12 mars de 10h00 à 12h00 ( Départager le normal de l’inquiétant par la docteure Michèle Morin ) et le mercredi 9 avril aussi de 10h00 à 12h00 ( L’audition avec l’âge, briser le silence par Gérard Larouche, audiologiste ). Ces conférences sont parrainées par le comité des usagers du CHUL.

– La recherche : elle met à contribution infirmiers(ères), médecins, physiothérapeutes, psychologues, etc. C’est de la recherche clinique pour aider les professionnels, les bénévoles et les services à domicile, par ex : comment évaluer la douleur chez une personne qui ne s’exprime plus ou détecter les failles pour la conduite automobile.

– Les cliniques spécialisées : ces cliniques offrent toutes une gamme de soins adaptés à plusieurs difficultés, dont la perte de mémoire, les difficultés à marcher, la surdité, les cancers, du sein, colorectal, du sang, les fragilités. On s’assure que la personne est bien entourée si des traitements sont nécessaires. Il y a aussi la prise exagérée de médicaments, la perte d’autonomie, là on peut aider à trouver des trucs pour faciliter la vie quotidienne. Il faut aussi détruire certains mythes reliés à l’âgisme comme, « toutes les personnes âgées sont incontinentes », on s’adresse aux femmes en les appelant ¨petite madame¨, dans un quartier où on veut installer une résidence pour personnes âgées, les voisins pensent que ça va dévaloriser leurs résidences.  Il ne faut pas non plus négliger les troubles du sommeil qu’on peut grandement améliorer avec de bons conseils, évitant ainsi la prise de somnifères qui entraînent d’autres troubles, dont les risques de chute.

– L’Équipe de mentorat : cette équipe travaille en collaboration avec le médecin de famille pour accompagner la personne âgée. L’équipe peut aller dans les maisons privées pour évaluer la personne et proposer des interventions, de l’accompagnement et du support pour maintenir la personne le plus longtemps possible dans son milieu. On travaille avec la famille, les enfants, ce sont des facilitateurs pour aider à garder une bonne qualité se vie.

– La prévention et la promotion : la prévention des chutes est un volet important pour les personnes âgées et des conseils sur l’alimentation sont aussi très importants pour garder une bonne forme physique. Il y a beaucoup de personnes âgées qui souffrent de malnutrition.

       À un colloque, Mme Juneau a proposé une pièce de théâtre pour illustrer ce qui peut se passer quand une personne âgée arrive à l’urgence. Aidée par une personne qui avait une formation en théâtre et en anthropologie, le scénario a été préparé avec du personnel d’une urgence et joué par 4 professionnels, 5 amateurs et de façon interactive, pour sensibiliser le personnel de l’urgence. Cette pièce a eu un succès monstre. Voici un exemple de ce qu’on a voulu illustrer : le médecin explique avec de grands termes et en parlant très fort le problème comme si  la personne  était nécessairement sourde et démente… Le médecin s’adresse à la fille ou au fils qui accompagne la personne plutôt qu’à elle. Après la pièce un urgentologue l’a prise dans ses bras et l’a remerciée en lui affirmant qu’il allait changer d’attitude envers ces personnes. Elle espère présenter la pièce pendant une conférence grand public.

        À l’hôpital, il arrive qu’on prenne les personnes âgées pour un groupe homogène,  toutes pareilles.

Questions :

        – À quel âge est-on vieux? Son grand-père disait que lorsqu’il ne serait plus capable de se lever et de faire ce qu’il avait à faire, il serait vieux.

        – Que faire si on n’a pas de médecin de famille? Il faut aller les voir, ils vont vous aider à en trouver un.

        – Par qui sont repérées les personnes dans le besoin? Par le médecin de famille.

        – Est-ce que le centre cherche des cobayes? Mme Juneau nous dit qu’elle aimerait venir nous parler de leurs projets qui auront peut-être besoin de cobayes.

Merci Mme Juneau pour cet intéressant exposé.

 

2ème exposé : Mme Laurie Gingras, YWCA

        Mme Gingras est agente de développement pour le service clientèle de la YWCA Québec. Professeure de danse depuis 15 ans, elle a fait aussi beaucoup de natation et a une bonne idée des besoins de la clientèle du YWCA. Elle fait la présentation des différentes activités offertes par la YWCA Québec, spécialement pour les retraités actifs.

        La YWCA a 139 ans et est le plus vieil organisme de femmes au monde. Elle offre des services de loisirs et d’éducation pour les femmes et aussi pour les hommes maintenant et pour les retraités actifs. En voici quelques’unes.

– La zumba est un cours d’activités physiques très tendance, c’est du workout en musique, très latin et plus doux. On adapte les mouvements à la capacité du corps par exemple, si vous avez mal aux genoux ou aux hanches, on adapte les mouvements, et c’est très amusant. Les cours se donnent le lundi et le vendredi matin.

– L’aquazumba, même formule mais dans l’eau, même musique, même mouvements, c’est tout aussi amusant et différent de l’aquaforme, c’est moins sérieux.

– La cardio-danse pour les 50 ans ou plus, c’est un cours de danse avec musique un peu rétro des années 80, qui rappellent de vieux souvenirs. Bien aussi pour ceux et celles qui n’ont plus la chance de danser et ça demande un certain effort cardio-respiratoire.

– Le baladi 50 et plus, danse du ventre avec un excellent professeur. Le baladi fait travailler les articulations des hanches et du bassin.

– Le bridge dirigé : si vous avez une bonne base et voulez vous perfectionner, il y a une bridgeuse experte pour vous aider. Un cours d’initiation est en préparation.

– Un cours d’écriture : pour certains, écrire sa biographie est un projet de vie, un héritage a laissé à ses enfants et petits-enfants. Ce cours est donné par des auteurs de quelques livres. Pour ses mémoires ou pour la création littéraire.

– La gymnastique respiratoire : il y a 2 cours. La respiration est une fonction naturelle jusqu’à ce que des problèmes se présentent. Ce cours travaille tous les organes de la respiration, visage, tronc, gorge et plus, la respiration mobilise plus d’organes qu’on le pense. Le professeur sait aussi conseiller les participants.

– Le YOGA du son : ce cours donné par une cantatrice aide à faire sortir les tensions à travers les sons. Il peut amener une plénitude en vous.

– Le YOGA-balles : c’est un cours de détente, un cours d’automassage avec des balles pour soulager vous-mêmes les tensions. C’est un cours pour tous.

        Comme Mme Gingras nous l’a dit en entrée de jeu, la YWCA est avant tout pour les femmes mais depuis quelques années elle est ouverte aux hommes pour certains cours, comme par exemple la danse.

        Ceci n’est qu’un petit aperçu de ce que la YWCA peut vous offrir. Leur site vous renseignera sur ce qu’elle offre tout au cours de l’année.

Merci Mme Gingras pour ces info.

 

3ème exposé : Mme Jacinthe Fournier, La magie de Noël dans les années 50

        Mme Fournier est une conteuse gaspésienne, elle a enseigné pendant 30 ans à l’éducation des adultes à Grande-Vallée, en Gaspésie. Déménagée à Québec, elle a poursuivi sa carrière comme coordonnatrice en santé mentale au Centre Robert-Giffard. Elle aime écrire et a collaboré à plusieurs occasions à la Revue Gaspésie, revue d’histoire. Elle aimerait faire éditer ses contes pour garder la mémoire vivante de son coin de pays auprès de ses petits enfants.

        L’année dernière Jacinthe nous avait fait bien rigoler en nous racontant la fête du Jour de l’An chez ses grands-mères, mais aujourd’hui, c’est la préparation de la fête de Noël chez elle, la veille, cette journée où on travaille, c’était pas le temps de rigoler dit-elle, c’était l’enfer!

        Ils étaient 10 enfants et sa mère avait juste le temps pour faire « l’ordinaire », levée à 5h30 et couchée à 8h00, pour dormir et pas pour se demander qui elle était.

       Dans la temps de Noël elle n’avait pas plus de temps donc….elle déléguait « l’ordinaire » aux filles et faisait « l’extraordinaire », lire la pâtisserie et les douceurs. Jacinthe avait imaginé cette veille de Noël faisant un maximum de lecture et un minimum de ménage. Elle lisait un roman d’aventure, genre Crocodile Dundee,  sous la couverture avec une lampe de poche et elle était rendue à un moment crucial.

        Comme sa mère avait peur du feu, on ne chauffait pas le poêle le soir et le matin c’était juste un peu moins froid que dehors. Du pied de l’escalier elle entend sa mère crier ¨ levez-vous les filles, on a une grosse journée à faire,¨ Jacinthe paresse un peu jusqu’à ce qu’une grosse voix dise ¨ les filles votre mère a dit de vous lever ¨. Elle saute dans les très vieux vêtements ¨pour faire l’ordinaire ¨. Sa mère lui demande de s’occuper du déjeuner car elle n’a pas le temps de le faire et autour de la table, il y a dix petits monstres affamés qui attendent. Elle a le malheur de leur demander ce qu’ils veulent et c’est la cacophonie, un veut des Corn Flake, un autre des crêpes, d’autres des œufs, manque d’expérience, fallait juste faire un tas de toasts……après il faut vite débarrasser parce que sa mère a besoin de la table, faut aussi faire la vaisselle ( soupir ) et ranger. Même pas 2 ou 3 minutes pour lire. Sa mère d’ordinaire si calme parle plus fort et plus vite. Après les filles doivent faire le dîner et ça recommence. Elles préparent des sandwiches mais ça va mal, les couteaux ne coupent pas, chez eux, les couteaux ne coupent pas de peur de se couper, c’est comme pour le feu. Jacinthe pense en avoir enfin fini, mais sa mère l’envoie faire le ménage en haut. En haut, sa mère ne la voit pas et hop dans le livre qui est sur son lit,  elle est rendue à un passage palpitant brusquement interrompu par la voix de sa mère qui lui demande si le ménage est fini. La veille de Noël, c’est maigre et jeûne, mais il monte de la cuisine des odeurs de pâtés à la viande et d’autres mets de circonstances. Hum j’ai faim se dit-elle.

       Après le ménage en haut, c’est le ménage de la cuisine, on envoie les enfants dans le salon et on leur dit qu’ils pourront polir le plancher en patinant avec de vieilles chaussettes, pour les faire patienter, mais on ne leur dit pas que c’est pour ce soir et qu’ils feront dodo à ce moment là. Jacinthe, très optimiste, pense qu’après ça c’est fini, mais non pendant que la maman farcit la dinde il faut décorer le sapin que les grands frères sont allés chercher dans le bois, un petit sapin un peu maigrelet. Il n’y a pas beaucoup de boules non plus, alors avec du papier on fait des étoiles, des guirlandes et des décorations. Jacinthe est allée faire des commissions et a vue le sapin au magasin, un beau gros sapin bien décoré, ce n’est pas le même résultat chez elle mais c’est quand même un sapin pas pire. Elle se dit que si le Père Noël était venu il aurait sans doute laissé une boîte de boules.

         Jacinthe pense qu’enfin c’est terminé pour les corvées mais non, il faut en plus cirer les chaussures de tout le monde, on ne reçoit pas le petit Jésus avec des souliers sales, cirage de chaussures, bottes et bottines et il faut faire attention pour ne pas mettre de cirage sous les ongles…..il faut aussi sortir tous les vêtements pour le lendemain et les pyjamas pour ce soir. Jacinthe nous affirme qu’aujourd’hui ce serait un cas de DPJ. En plus ce sont les filles qui sont toujours au boulot, les gars eux font des activités d’homme, comme patiner, faire des batailles de balles de neige.

         Bon c’est l’heure de souper et sa mère n’a pas encore le temps de le préparer.

Elle va faire du macaroni au fromage, c’est jeûne mais on peut quand même faire quelque chose qu’on aime et elle s’y attelle, des pâtes pour 12 dans un vieux chaudron en alu tout cabossé.

        Après ce souper, c’est les bains pour tout le monde mais pas d’électricité, pas d’eau chaude….On met de l’eau à chauffer sur le poêle et on sort  la grande cuve. On commence par les plus petits car ils sont moins sales et de temps en temps le père ajoute un peu d’eau chaude. Une belle auréole se forme autour de la cuve. Et c’est le temps de mettre les pyjamas, ils sont très pauvres, mais ils ont tous des pyjamas griffés, Five Rose, Robin Hood, marques de sacs de moulée à cochon et de farine dont les mères se servaient pour confectionner toutes sortes de choses pour la maison et les enfants. Tout le monde monte se coucher en suivant le papa qui tient la lampe à huile car il faut dormir avant la messe de minuit mais on est fébrile et pas moyen de dormir. Les enfants se ramassent dans une chambre et on se demande ce qu’on aura en cadeau. La cousine du père avait un magasin général et on allait voir dans la vitrine ce qu’elle avait pour Noël. Le papa lui est allé à 9h00 ce soir faire un tour au magasin et achète ce qui reste et le moins cher. En revenant il dit à tout le monde de se coucher et chacun regagne son lit.

        À 11h30 c’est le réveil un peu brutal car chacun dort maintenant d’un profond sommeil. On est tout mêlé, le corps ne suit pas et on s’habille les yeux fermés. Toute la famille part pour l’église, il fait froid, mais par chance l’église n’est pas loin. Dans ce temps-là il fallait acheter son banc à l’église, mais comme ils étaient pauvres et ne pouvaient payer très cher, ils avaient le dernier banc en arrière près de la porte  qu’on ouvrait et fermait sans cesse et on gèle, encore, et on essaie de se garder réveillé.  Tout à coup c’est le gloria, la messe est finie et on se réveille en sursaut. En sortant de l’église il fait ce qu’on appelle la petite neige de Noël, il faut qu’il neige à Noël. On entend les grelots des chevaux, les gens se souhaitent Joyeux Noël, c’est la fête. Ce soir la mère a chauffé la maison, il fait chaud et les tuques et les mitaines r’volent. Chacun va chercher sa boîte sous le sapin, on s’amuse. La maman a préparé un petit réveillon qui ne dure pas très longtemps car tout le monde est fatigué après cette journée. Au réveil ce matin ce sera la fête, et ce soir on va dormir le sourire aux lèvres et on va rêver de clochettes et de musique céleste. Joyeux Noël!

Merci Jacinthe de nous mettre dans l’ambiance des fêtes.

Aimé nous dit que quand il était petit chez lui il y avait des oranges dans les bas de Noël.

       

C’est le temps de la pause et au retour, les coups de cœur, les offres et demandes qui ont leur propre rubrique sur le site et les tirages.

Et voilà que Nez Rouge nous fait la surprise d’une petite visite, ce soir c’est le coup d’envoi de l’opération Nez Rouge pour la période des fêtes. Du 4 au 31 décembre les bénévoles seront là pour raccompagner ceux et celles qui auront pris un p’tit coup de trop ou simplement ceux et celles qui seront trop fatigués. En passant il a toujours besoin de bénévoles pour lui donner un coup de main. Tél : 418-380-5500

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Coups de cœur :

        Un premier coup de cœur pour un cours à l’université du 3ème âge :  Le nucléaire au quotidien.

        Livres : URSS 1934, (on sait que la création du goulag a eu lieu en 1934.)

        Films : Le ciel de Kolyma, au cinéma Cartier,

                    L’autre maison qui était au Clap,

                    Le démantèlement, avec l’extraordinaire Gabriel Arcand, au Clap

                    La voleuse de livres, à l’Odéon. 

Nouvelles :

        Aimé nous préparera en janvier une 1ère sortie en ville  des Retraités Flyés, on apporte de l’eau et on  marche. 

Témoignage :

        Mme Chantal de Varennes, qui assiste au 5 à 7 espagnol depuis un an, nous assure qu’elle s’est grandement améliorée. Elle n’avait au départ que peu de notions d’espagnol. 

Les tirages :

        Comme d’habitude nous avons donné notre prix de présence de 20.00$, et  ce soir, le flyé-flyé était de 35.00$. Le YWCA nous a nous a permis de donner 2 laisser-passer pour 10 bains libres et IGA a donné 3 beaux poinsettias pour égayer la période des fêtes.

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        Cette soirée se termine par le café prolongé pour permettre aux participants d’échanger avec nos conférenciers et faire de nouvelles connaissances. Le café, les jus et les biscuits nous sont gracieusement offerts par le Marché IGA Deschênes, 255 ch. Ste-Foy. Merci Mme Deschênes.

 

        N’oubliez pas le déjeuner flyé, le 3ème jeudi du mois à 9h30 et le lunch anglophile, le 1er mardi du mois à 11h30, tous les deux au restaurant Tutti Frutti du 47 boul. René-Lévesque est, et le 5 à 7 espagnol au resto Copas du 595 Grande Allée, le 2ème vendredi du mois.

 

        Notre prochaine rencontre-conférences aura lieu le vendredi 28 mars 2014 à 19h00 au Centre des Loisirs St-Sacrement, 1360 boul. de l’Entente. Prix d’entrée : 5.00$.

 

                   Merci de votre participation et amenez un(e) ami(e).

                  Joyeux Noël et très heureuse année

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